Présentation de la première table (virtuelle) de jeu de Warhammer Blackhammer.
Nain des montagnes, ancien soldat d’un régiment du Reikland. Sort du bagne de Marienburg.
Semi-homme de l’Ostland, au passé trouble mais aujourd’hui reconverti. Sort du bagne de Marienburg.
Privé : la nécropole de Seamus
Embaumeur du Hochland, cousin de Magnus Ultimer. Sort du bagne de Marienburg. A disparu à Pfeifeldorf (Reikland), peut-être tué par des sucemorts ou des membres locaux du culte de sang.
Privé : le tombeau de Camcamcam
Écuyer du Middenland, cousin de Karl Ultimer. Sort du bagne de Marienburg.
“Ma vie, mon œuvre” de Drogregar Bonnemiche, début d’année 2523.
Cela fait déjà plusieurs semaines que je suis dans ce trou à rat, je sais bien que mon surnom est la souris, mais je suis pas fait pour rester enfermé entre quatre murs. On m’a enfermé dans le fort de Rijker, le fort qui tient l’entrée du port de Marienburg.
Je ne sais pas ce qu’il est le plus pénible , la nourriture que n’accepterait pas de manger un chien, ces regards sur moi, je suis le seul à ne pas avoir de barbe dans le coin, et certains ont des envies pas très naturelles, pour l’instant j’ai réussi à éviter les problème, je sais me faire discret et tout petit quand il faut. Le seul point positif c’est que j’ai vu Karl.
Karl est un ami, on a beaucoup parlé sur le bateau qui nous emmenait vers Marienburg. Je sais que je peux compter sur lui. Il m’a dit que son cousin Magnus était aussi dans ce sombre fort. L’autre nuit il c’est passé un truc bizarre, on avait l’impression qu’une émeute avait lieu dans la partie nord du fort, elle a du être réprimé dans le sang, parce qu’on a vu des sacs et pas qu’un peu, c’est sur que le père Vogel, il a du avoir du boulot.
Voilà pas qu’ils ont décidé de regrouper les impériaux, on nous déplaçait dans l’aile nord de la prison, là où on raconte qu’il sait passé des trucs pas très clairs, ce serait la cause des émeutes ; Dans tout les cas on est enfermé ,maintenant dans cette partie du fort et alors que l’on avait rien à faire juste à attendre que le temps passe, là on nous demande de casser du caillou et on a intérêt à le faire si on veut manger, il appelle cela manger ?
Je suis dans une cellule avec un nain et deux gars de l’Ostermark, et ils sont tout les trois malades, j’espère que c’est pas contagieux, parce que pour éviter la promiscuité dans une cellule de deux mètres sur deux, c’est un peu compliqué, même si je suis petit. On avait pas assez de problème ? Voilà que l’autre soir, on nous rajoute un client dans notre cellule. Un vieux sec tout en muscle, un mignon du taureau, (le taureau c’est un gars très dangereux, un mec qu’il faut éviter si tu veux pas avoir de problème) Et voilà que le vieux qui semble complètement taré, il commence à massacrer le nain, à coup de pieds et de poings. J’ai bien cru qu’il allait le tuer, du moins avant la nouvelle surprise, c’était le jour, voilà que Karl et son cousin sont transférés le même jour dans notre cellule, à six dans la cellule on va rigoler. Il n’empêche qu’ils arrivent en plein au moment où le vieux s’occupe du nain. Et là Magnus lui demande d’arrêter, parle toujours, le vieux est complètement taré, on voit la haine et la folie dans ses yeux, Mais le cousin de Karl, il veut rien entendre, et il commence à donner du poing lui aussi. Et là c’est juste le chaos dans la cellule, surtout que Karl essaye de calmer son cousin. J’essaye d’éviter les coups, au passage quand le vieux trébuche sur un des ostermarkiens, je lui fais gouter de mon pied, dans tout les cas, c’est Magnus et Karl, qui n’a pas apprécié, lui aussi, de se prendre un coup de poing du vieux, qui prennent le dessus. La bagarre se finie avec le vieux à moitié assommé qui crache du sang, il faut dire qu’il a craqué dans tout les sens, le vieux. Karl qui est un expert dans le corps humain, nous dit qu’il ne risque malheureusement pas de mourir, ce qui nous donne mal à la tête sur le cas de conscience qui nous attend, il pourrait se venger, moi je serais pour lui enfoncer un truc dans la bouche, pour en finir, j’ai pas envie de me retrouver avec le taureau sur le dos. Mais on n’arrive pas à se mettre d’accord et on s’endort comme cela, les un sur les autres. Et quand le matin vient, le soleil se lève avec un bonne surprise, le vieux est mort noyé dans son sang (je me dis que quand Karl me dira que je suis pas entrain de mourir ne pas obligatoirement le croire). Maintenant il va falloir s’expliquer avec les gardiens, mais Magnus avec de l’à propos s’en sort très bien devant le vieux Rudel Host, qui rit même du sort du vieux fou. Notre vie vaut pas grand chose dans ce trou.
Mais bon, on est toujours là sous le soleil de Marienburg à casser des cailloux, pour combien de temps ? Il faudrait s’évader mais quand j’en parle à Magnus et Karl, ils semblent trouver cela impossible à réaliser, j’ai besoin de faire un bon repas !!!!
Après avoir dormi (enfin si on peut appelé ça dormir) comme on peut, donc mal (mais bon depuis le temps on a l’habitude). moi (Magnus) mon cousin (Karl) et le semi-homme sommes allés casser du cailloux, alors que les trois autres encore vivants (le nain et les deux humains) sont rester en cellule. Au bout d’un moment en discutant avec les deux autres (mon cousin et le semi-homme),j’ai décidé d’aller parler aux gardes a propos des malades. j’ai donc posé mon maillet, levé les mains en l’air et me suis dirigé vers les cordes qui délimitent les zones de travail, puis j’ai demandé à voir un garde. Deux se trouvaient a porté. Ils se sont regarder un petit moment puis l’un et venu en râlant. je lui est donc dit qu’il y avait des malades sans insister et lui ma répondu par une phare qui disais que en gros il s’en moquait et a ajouté que si je ne travaillais pas dur, je n’aurai pas a manger. je suis donc revenus vers mon groupe les informer de mon infructueuse conversation. Karl y et donc retourner et y est aller beaucoup plus fort en argumentant que les maladies sa se repent et que si il n’était pas soigner les malades serai mort le lendemain. le garde fut convaincu et quelque temps après le prêtre arriva et emmena mon cousin avec lui pour soigner les malades.quand le prêtre arriva et a vue que le cadavre du vieux n’avais pas été débarrasser.puis il fit se qu’il put pour aidez les malade puis repartit et Karl repartit travailler avec nous. quelque jour passèrent et un des humain ne survécu pas et mais après les deux autres vinrent travailler avec nous.et la nuit on entendit des bruit bizarre.le lendemain nous entendirent des rumeur de monstre et on vit un homme être emmener au corbac avec les membre arracher apparemment scier.la nuit suivant on n’a capturer cette créature bizarre.
Se termine le 6 Pflugzeit 2523.
Enfin nous avons pu passer une nuit dans un bon lit. Enfin des bons repas, cette pension et ses hotes sont forts acceuillants. Aprés cette bonne nuit de repos, chacun de nous 4 vaquent un peu à ses occupations. Car meme si nous n’avons que 8 jours pour rempli notre mission, il nous faut nous armer correctement pour certains, pour d’autre c’est plutot etre présentable. Un petit tour chez le barbier, l’armurier ou le forgeron et chacun y trouve son bonheur. J’en profite pour acheter de quoi soigner Borgut. Chose que je réalise dés mon retour à la pension. Borgut est presque comme neuf et nous sommes fin pret pour braver les périls de Marienburg.
En discutant avec notre hotesse prés d’un petit en cas, elle nous apprend que la croisade se serait formé dans le difficile quartier du Winkelmarkt. Nous décidons donc de s’y rendre sur le champ. Les dédales de ruelles qui composent cette ville ne nous aide pas beaucoup mais à force de tourner nous arrivons à bon port.
Effectivement ce quartier est pauvre, une sorte de tempete semble s’etre abattu ici, mais l’atmosphere semble au soulagement. Quoi qu’il se soit passé ici, cela semble terminé. Nous nous dirigeons vers la première taverne. Notre bourse ne passe pas inaperçue ici…Pas grand chose d’interessant ici, une histoire de poisson péché à tete de femme qui parle d’une prophétie annonçant l’héritier de Sigmar qui reviendrait pour restaurer la gloire des impériaux. On nous indique quand meme un endroit pour trouver des informations.
Direction donc le marché de labour. Cet endroit sombre, trés calme semble etre au main de quelques brigands. Ici, on ne montre pas ce que l’on vend. tout le monde parait louche et nous observe. On nous dirige vers un trés vieux monsieur, un certain Herr Schmidt. Celui-ci nous parle de la croisade de l’enfant et de symbole de comète à deux tetes qui serait apparu sur sa poitrine. Mais une remarque déplacé de l’un d’entre nous nous empeche de cuisiné un peu plus Herr Schmidt et c’est sous ses insultes et pitoyables tentatives de nous frapper que nous allons voir un autre marchand.
Cet autre marchand nous informe que l’enfant aurait entre 8 et 10 ans et que c’est le père Helmut (pretre de Sigmar) et une abbesse de Shalya qui aurait révélé l’enfant.
On se rend donc dans un grand temple de Shalya ou une vieille pretresse nous raconte que l’enfant à été élevé par les soeurs de l’orphelinat en secret. Il a, un jour, été enlevé par les forces de la Ruine mais à réussi à s’échapper et ensuite la croisade s’est formé.La croisade est ensuite partie vers Altdorf. Elle nous donne aussi le nom de la personne qui à élevé l’enfant, une certaine Gerda Lutzen, directrice de l’orphelinat et abbesse de Shalya
La faim se faisant sentir, nous nous arretons dans une grande taverne. Un homme semblant nous chercher nous y aborda. Il se présenta comme Josef Pire, et possédant des reliques de l’Enfant. Des dents, cheveux ainsi que la tunique qu’il aurait porté lorsqu’il massacra ses ravisseurs.
Notre prochaine étape a été de se rendre à l’orphelinat. Priés de laissé nos armes, nous avons été introduit aupré de mère Lutzen. Cette femme à l’allure assez stricte et guindée en sait beaucoup sur cette histoire et elle nous en parle avec une grande ferveur. L’Enfant s’appelle Karl…Il est arrivé à l’orphelinat un soir ou la comète à deux queues brillait dans le ciel. Au vu de ce signe, ainsi que de la grande gentilesse, force et intelligence qu’il montrait, on compris que c’était la réincarnation de Sigmar et il fut décidé de l’élever à l’écart et dans le secret. Mais un jour, des hommes reussirent à tuer une soeur et à le kidnapper. Se munissant d’un marteau, il massacra ses raviseurs. La foule, voyant ça ammena l’Enfant auprés du père Helmut qui y reconnu la réincarnation de Sigmar. La foule s’est donc mutiplié afin de former une croisade dans le but d’aller rendre visite à la cour impériale. Ce départ s’est fait il y 3 jours. Le massacre au marteau s’est déroulé sur l’avenur verte dans le Winkelmarkt.
Ayant récupéré nos affaires Drogy trouva un message dans les siennes. “Lutzen est une folle un peu simplette qui fait menteries vous et à elle meme. vous devez parler à l’abbesse véritable devant l’ancien temple de Sigmat à Templewik, tant qu’elle vit encore l’enfant est dangereux - loyauté pas encore aux Jardins noirs ”
En allant à ce mystérieux rendez vous, nous nous arrétons à la forge du Saint Marteau, d’ou le marteau ayant servi à l’enfant proviendrait. Herr Schmeitzen, le propiétaire des lieux nous informe que toute cette histoire serait en fait manigancée par un ancien groupe de conspirateur afin d’affaiblir l’empire et que le père Helmut serait un sorcier.
Voilà que l’on se dirige vers l’ancien temple de Sigmar, il parait que l’ancienne abbesse serait dans le coin et qu’elle pourrait nous aider à avoir des informations sur l’enfant. C’est sur que toute cette histoire elle sent pas bon. La nouvelle Abesse me fait plus penser à une illuminé qui aurait vu Sigmar en personne, peut-être que la veille aura plus de jugeote. Nous voilà sur la grande place, et là on trouve bien la vieille, sauf qu’elle est suspendu dans une cage à moitié morte. Et en plus surveillé par le guet. Il faut dire que le guet dans le coin, il son plutôt cool et il ne surveille même pas la vieille la nuit. On apprend que la vieille abbesse a été accusé de sorcellerie, ce qui met dans tout ses états le pauvre nain. On dirait un chat au dessus d’une bassine d’eau. Bon c’est pas tout cela mais notre patron, il veut des informations et elle dans la cage en a, alors on décide de la libérer, c’est pas très compliqué de nuit, il faut dire que je connais un peu mon job. On l’a ramène à la pension et après que Karl l’ait un peu soigné, elle nous raconte une bien étrange histoire. L’enfant aurait été trouvé dans les marais maudit par un répurgateur du nom d’Osric Falkenheim et que à l’époque il n’avait pas de marque de naissance (cela pu la supercherie à plein nez). Qu’Helmut est un proche de l’ancien grand Théogoniste et il semble… Comment dire : un gars un peu dur. Bon ben il faut trouver l’Osric, lui il aura encore plus d’info, du moins on l’espère. On a rendez vous (une embuscade plutôt) dans un entrepôt, un ami Orst qui comprend que l’on est du même côté nous explique où on peut trouver l’Osric en question, dans une gargote d’une nom de Lotus Dorée. Il serait entre la vie et la mort après s’être fait massacré par la foule, le fameux jour où l’enfant fut sauver de l’enlèvement et partit pour la croisade. Grâce au jeton d’Orst on nous ouvre la porte, du Lotus Dorée et malgré le peu de finesse de Borgut (il fait un concours avec Magnus pour savoir qui sera le plus lourd?) nous arrivons, Karl et moi à rencontrer Osric qui a un langage que ne renierait pas un docker d’Aldorf , il nous raconte la découverte de l’enfant lors d’une cérémonie (un sacrifice?), le massacre des cultistes par les répurgateurs. L’étrange ferveur de ces cultistes. Dans tout les cas on en sait biens assez pour aller voir notre patron et lui donner les informations qui nous ont été demandées pour notre libération. J’espère que cela sera suffisant. Mais cela ne l’ait pas, il nous demande d’aller voir dans les marais maudits pour voir s’il y aurait des infos sur l’origine du gosse. Super!!!
Après que Karl ait interrogé le vieil homme du lotus doré que je n’ai toujours pas eu l’occasion de voir, nous avons du nous enfuir car il semble avoir pris la mouche et dégainé son pistolet après que Karl ait tenté quelque chose. L’embaumeur était un peu bizarre car il avait même volé quelques objets sur le comptoir avant que nous prenions nos jambes à nos cours.
Mais cette fois-ci nous savons où nous devons aller, il nous a lancé sur les traces de l’expédition qui a ramené le faux “enfant de Sigmar”. Cependant cette piste va droit dans les marais et nous devons donc nous équiper. Après avoir fait le tour des boutiques et des marchés pour avoir suffisamment de matériel pour survivre plus d’une journée dans l’environnement hostil qui nous attends, et dont nous ne connaissons au final pas grand chose, nous prenons la route. Notre passage par la porte Ouest ne pose pas trop de soucis et les gardes ne sont montrent pas trop menaçant.
Nous continuons alors vers l’ouest comme il nous a été indiqué après une longue trotte nous tombons finalement sur un petit village de pêcheurs. Ce sont des gens de marais et bien qu’ils n’aient pas l’air aussi attardés que le disent les gens de la ville, ils sont très différents de ce que j’ai rencontré jusqu’ici. Ils ont l’air d’apprécier leur vie de misère, et les enfants semblent avoir pour but habitude de faire les poches aux aventuriers mais ils n’ont rien tenté avec nous.
C’est là que nous trouvons notre guide, il est à vrai dire surprenant qu’un homme ait pu atteindre un âge aussi avancé dans ce marais. Après quelques mots échangés, il accepte de nous guider en barque jusqu’à la tour en pierre que nous cherchons près de laquelle l’endroit où l’enfant a été recueilli devrait se trouver. Cet homme exulte l’expérience et je sens que je peux lui faire confiance, mais je doute que les autres soient vraiment du même avis. Les nains respectent les anciens, et je sens que nous devons faire confiance à cette homme si nous voulons arriver à bon port.
Une fois dans la barque on commence à avancer dans le marais, notre guide nous indique la direction comme s’il savait exactement où il allait, il affirme même connaitre ces marais comme sa poche. Mais malgré ses instructions, le voyage ne se fait pas sans encombres. Nous avons été attaqué par des sorts de laine qui brûlent la peau à leur contact. Après avoir pris quelques coups nous sommes finalement parvenus à leur échapper, mais j’ai vite constaté que nous manquons d’organisation. Il faudrait à l’avenir que je donne des ordres aux autres en me basant sur les instructions du guide, je suis le seul ici avec une expérience en tant que soldat.
Une fois le soir venu, nous avons continué de ramer pendant un bon moment avant de finalement nous arrêter. Près de la berge notre guide nous a indiqué un endroit où établir notre campement, certains ont alors goûté à la nourriture locale en mangeant des trucs dégueulasses mais j’ai préféré manger ce que j’avais pris avec moi. Nous avons ensuite établi des tours de garde et la nuit s’est passé sans encombres.
Le lendemain, nous avons croisés une autre barque, celle-ci était tirée par un poisson qui tirait une main suspendue à une corde. J’ai senti mon échine frissonner, pas tellement à cause du fait que quelqu’un ait été tué ici, sans doute par une bête, mais surtout par le fait qu’il y ait ici des poissons suffisamment grands pour tirer une barque. Je déteste l’eau, je déteste les poissons et je déteste cet endroit. Le semi-homme a trouvé un sac sur celle-ci plein d’objets et il faudra qu’on pense à se les répartir entre nous une fois le soir venu.
Mais c’est la que tout empire. Un îlot sur lequel un cadavre était allongé a croisé notre route. J’ai tenté de les décourager d’aller tripoter le cadavre mais Karl semblent avoir un amour pour les morts, ce qui ne m’étonne pas vu qu’il fut embaumeur. Nous avons donc abordé, Karl et Magnus sont descendus et je me suis porté volontaire pour les escorter. Mais dès que Karl et Magnus retournèrent le corps, un nuage se répandu, il n’eut aucun effet sur moi mais les deux humains nous attaquèrent. Ils avaient le regard vide et se comportaient comme des animaux. Après l’échange de quelques coups, je tenta de maîtriser Karl mais ils reprirent alors tous les deux consciences.
Quel était donc ce sortilège ? Je déteste la magie, ce marais est maudit ! Et notre guide commence à perdre ma confiance, il a même tenté de s’enfuir ! Voilà deux fois que nous sommes attaqués et qu’il nous est inutile. Je comprends qu’il ait vécu si vieux s’il s’enfuit dès qu’il rencontre le moindre problème
Après s’être remit de cette absence j’ai étais voire le cadavre de qui semblais être un nain et une longue discutions en a découler une discutions sur se que nous devions faire du corps et je me suis vite rendu compte que mes compagnons étais des hérétique et ne respecter pas les dieux et leur croyance ni les mots il voulais le jeter dans l’eau comme de la merde alors que je sais que morr nous apprend que nous devons enterrer les morts.Finalement le nain est intervenus car le mort était un membre de son espèce mais si se n’aurais pas étais le cas lui non plus n’aurais rien fait.Du coup nous avons finis par mettre le cadavre sur un une motte de terre qui s’enfoncer et nous avons laisser le cadavre se faire avaler par la terre“que son âme repose en pais”.La nuits suivante karle c’est fait mordre par une sangsue.Puis on n’a repris notre route et nous somme arriver a destination et la nous avons rencontrer des homme qui ne semblais plus humain et un espèce de d’homme avec un tête de crapaud .Un premier c’est jeter sur nous et je l’est fait toucher mortellement il agonise puis un deuxième et tomber du mur et j’ai foncer sur lui et je suis tomber sur l’homme crapaud qui étais un sorcier et a fais fuir mes compagnons et je il ma fait mal mais j’ai fini par lui enfoncer mon épée dans le ventre.Puis un traitre ma tiré dessus et je suis tomber a terre.
Quand on est sorti de Rijker, on c’est dit que c’était déjà pas mal, que l’on avait échappé belle. Un peu d’enquête sur le gamin qui avait lancé une croisade pour Sigmar. Je vous raconterais pas toute les aventures que l’on a vécu à Marienburg. Mais je peux vous dire que cela n’a pas été de tout repos. On en a croisé des endroits mal famés, le passage dans les marais a été un des plus terrible, surtout quand on découvert le fin mot de l’histoire sur l’enfant, après avoir mit fin à des créatures immondes, qui vénéraient un dieu immonde.
Le passage dans les égouts de la ville n’a pas été simple non plus, Magnus a failli perdre son pied, mangé par des mangemorts. Au fond on a combattu une bête innommable, une sorte d’araignée géante avec deux langues irisées de pointe, une qu’il lui sortait de la bouche et l’autre du cul. Mais grâce à ma fronde, nous avons vaincu la bête.
C’est après que notre commanditaire nous a demandé d’aller à Aldorf pour prévenir les autorités locales.
Et nous voilà sur les routes en direction d’Aldorf, on comprend de suite que nous suivons la croisade qui n’a laissé derrière elle, que le vide et la désolation, les hameaux sont détruis et vide, dans l’un d’eux, on retrouve des cadavres, pendus et marqués aux fers rouges.
A part les stigmates de la croisade, nous ne rencontrons pas de danger, même si parfois nous avons l’impression d’être suivi, on n’entend plus les animaux par intermittence comme si une bête été là aux aguets. Nous rencontrons une caravane qui a été pillée, les occupants ont été frappés, certains violés par les gueux de la croisade. Nous laissons là ces pauvres gens.
Puis nous voyons des avis de recherche, à ma grande surprise, Magnus notre servant de Sigmar fait partit des hommes recherchés, pour des actes ignobles. Mais Borgut le nain et Karl l’embaumeur sont aussi sur ces affiches. Nos recherches à Marienburg n’ont pas du passer inaperçu.
Et là nous rencontrons un groupe de noble guerrier qui se font appeler Blauesblut, des fils cadets de noble qui sont devenus des mercenaires pour l’argent, des êtres ignobles surtout celui qui semble leur chef un certain Arnolt Schade. Nous sommes sur les terres de Von Speier et il veut vérifier notre sauf conduit. Ils nous amènent dans le village de Pfeifeldorf où l’intendant nous explique que si nous ne voulons pas rester deux jours la tête et les mains dans le pilori, il va falloir nous occuper d’une petite enquête. Retrouver la poule de Frau Gertrud. Cela sent le piège à plein nez.
Il faut toujours croire un semi-homme, quand il dit que cela pu, cela pu. La première journée s’annonçait calme, on devait trainer dans le village pour faire croire que nous étions vraiment intéressé par cette enquête. Mais sérieusement dans ce village, à part le fait qu’il y avait plein d’animaux qui disparaissaient, il y avait vraiment rien de mystérieux. Frau Gertrud était une espèce de monstre femelle qui faisait peur à tout son voisinage, moi je l’ai trouvé sympa. Des traces nous menaient tout droit vers le cimetière du patelin, et à une crypte, celle des Von Spier. Mais le hic,voilà, il faut que je vous parle de Dwali Rubar, l’escrivain du coin, une sorte de nain aigri qui nous ne lâcha pas de la journée. Qui nous déconseilla vivement de pénétrer dans la crypte, si nous ne voulions pas finir au pilori. On n’aurait pas du écouter se casse bonbon, cela nous aurait permis d’éviter la catastrophe qui allait arriver. A la fin de la journée, pas grand chose à se mettre sous la main, à part des rumeurs sur un culte de sang, un meunier voleur, un boulanger suicidaire, et plein d’autre fadaise sans intérêt. La soirée allait filer avec ennuie, quand Borgut décida de narguer le prévôt qui n’avait pas beaucoup d’estime pour les étrangers. Ce qui lui permit d’aller essayer le pilori du coin. On s’ennuyait, voilà une mission pour nous, délivrer le nain. Et grâce à l’aide de Francine une révolutionnaire de Bretonnie, qui nous promit de l’aide en échange d’un service, nous allions réussir, l’impensable, délivrer le nain, sans cris et éclats, grâce à mon expertise en jeu de carte (dans la réalité, je n’ai jamais joué aux jeux de carte, mais on ne refait pas Drogegar, qui su réussir un des ses tours pendables qu’il sait si bien faire).
Pour avoir l’aide de Francine, il nous fallait juste aller récupérer un livre, chez un grand mathématicien de l’empire, un certain Herr Johannes Gephardt. Ce fut une excellente idée, car nous réussissons à manger un excellent repas pour se trou sordide qu’est Pfeifeldorf, Karl eu le plaisir de rester dans la maison de Gephardt pour recopier les passages intéressant du livre, pendant que nous allions sauver le nain du pilori. Le plan était simple, faire boire le prévôt qui ne supportait pas l’alcool, et avait une légère dépendance au jeu (et un orgueil trop important). Tout cela se passa sans problème grâce à son excellence, et nous réussissons sans problème à libérer le nain, laissant le prévôt ivre mort dans les rues de Pfeifeldorf.
Et c’est là que tout va partir à vaux l’eau, parce que nous décidons de finir la nuit, en allant fouiller la crypte. Ce n’est jamais une bonne idée d’aller fouiller une crypte de nuit, surtout quand on ne sait pas ce qui pourrait trainer là dedans. Dans tout les cas, cette crypte n’était pas vide, des bruits bizarres, des traces étranges, assez pour que Magnus cours comme une vierge apeurée demander de l’aide à l’intendant du village. Celui-ci nous somma de l’accompagner là-bas avec quelques paysans et un gars étrange qui erre dans le village la nuit, et qui s’appelle Walter Schnee, je n’ai toujours pas compris ce que faisait ce type, cela ne l’a pas protégé quand il s’est fait déchiqueté par les monstres, mais revenons à nos moutons, nous voilà dans la crypte vide, pas un chat, pas un mange-mort, juste des traces d’une sombre cérémonie, peut-être que ce culte de sang n’était pas une rumeur stupide de paysan ignorant.
Dans tout les cas, notre intendant sentant lui aussi que l’air était irrespirable dans ce trou à rat, décida d’aller voir au château, si on pouvait avoir de l’aide (la mauvaise blague), nous voilà retournant au village en passant par la foret et tout autour des choses étranges nous observent. C’est à ce moment que tout à dérailler, une sorte de type bizarre avec des canines énormes, qui se trouve juste devant nous commencent à insulter les arbres, qu’il a pas peur, qu’il est près à se battre et le chaos tombe sur le village. J’ai vu grand chose car en bon semi-homme je me suis jeté dans un buisson pour uriner dans mes chausses tranquillement. Mais j’ai quand même vu l’étrange démon se battre contre des formes indéfinies, j’ai vu aussi un homme sortir de la forêt, avec un air louche, j’ai donc décidé de le suivre, dans le village c’était le bazar, hurlement, bruit de combat. Je suivais mon homme, qui n’était que le fils cadet du comte, Lucas Von Speier, je le vois qui regarde les combats surtout un où son frère, l’ainé est au prise avec des choses, et là voilà que la succession du patelin se joue, pas le cadet sort une dague et la lance dans le dos de son frère, qui s’écroule mort. Voilà une affaire de succession réglé dans les plus bref délai, mais je n’ai pas le temps de me soucier de la vie de famille des Speier, car une des choses a décidé de faire de mois son plat principal. Seule solution pour sauver ma vie, m’enfuir et rentrer dans une des maisons, je me jette sous un lit avec la bête à mes trousses, heureusement le lit était occupé, le pauvre type, voilà qu’il se bouffait à ma place, en essayant de passer entre les jambes du monstres, celui-ci m’ouvre la moitié du crane, à tel point que mon propre sang m’aveugle. J’arrive quand même à m’enfuir pour de bon. On me retrouve à moitié terrorisé aux bords de l’eau, car je me suis aperçu que les monstres n’aiment pas l’eau courante. Borgut et Magnus me racontent qu’ils ont eu affaire eux aussi aux bêtes de la nuit qui pour la peine leur ont laissé un beau suçon. Dans tout les cas le nouveau comte du coin, décide que tout cela est de notre faute et qu’il est bien gentil de ne pas nous exécuter sur le champ. Il faut dire que je suis un témoin gênant, et juste avec le regard, je lui fait bien comprendre, que s’il voulait nous condamner trop vite, je pouvais l’ouvrir un tout petit peu. Dans tout les cas nous sommes escortés, jusqu’à la route d’Aldorf et nous revoilà repartit, en bien mauvais état et Karl a disparu, nous pensons qu’il a été victime d’un de ces suces-sang.
Après le voyage le long du Reik en quittant Pfeifeldorf, le siège bestial du relais de coche, la rencontre avec le père inquisiteur Johannes, avec les elfes de Coriael, et enfin avec la Croisade de l’Enfant réincarné. Après la rencontre de leurs chefs, le père sigmarite Helmut, le riche marchand marienburgeois Vanderpeer, le grand seigneur middenlander Eisenbach et ses chevaliers et soldats, le capitaine Krieger et ses soldats. Après la mort terrible et étrange du capitaine Krieger et de ses hommes, les conspirateurs au furoncle, le boucher de la peste, l’arrivée à Atldorf, et l’enlèvement du Saint Enfant Karl par le traitre Vanderpeer. Après avoir couru avec difficulté derrière Vanderpeer à Altdorf, toujours un (ou dix) pas derrière lui.
Vanderpeer cherchait l’artefact, le Collier de l’indéfectible loyauté, pour contrôler totalement l’Enfant Karl et conquérir l’Empire de l’intérieur. Collier trouvé par l’ancien sorcier, tombé dans les griffes de la Ruine par amour ou obsession, Ansel né à nouveau comme la Vengeance de Sigmar traqueur et tueur des Corrompus d’Altdorf.
Mais Vanderpeer a gagné, eu ses informations, et avec une main pleine d’atouts doit probablement se diriger rapidement vers un petit village du Hochland pour prendre le collier caché. Le dernier journal d’Ansel, caché, révèle le rituel de l’Indéfectible loyauté, et la cachette du collier. Mais le pigeon noir d’Altdorf, qui espionne et aide ou stoppe le groupe a des alliés, de très nombreux alliés. Malgré d’énormes protections prises par le semi-homme, la cathédrale de Véréna est attaquée en masse par des altdorfers, et le dixième journal d’Ansel volé entre autre par une femme-enfant acrobate d’une beauté presque surnaturelle.
Nous sommes le lendemain après l’aube, le 28 sigmarzeit. L’Empire va se mettre en branle contre ces ennemis intérieurs et les dangers d’artefacts, mais l’Empire est une énorme machine lente à réveiller. Et qui sait si l’influence Corruptrice de la Ruine n’affecte pas tous ses rouages ?
Une avant garde est envoyée d’urgence, les quatre pauvres enquêteurs, armés d’or, de contacts, et de sauf-conduits qui n’iront tous probablement que peu d’effet pour un voyage de plusieurs semaines dans le Hochland ravagé par la Grande invasion du nord, et la traversée de la terrible Drakwald.